Machine readable
albertinemeunier.net en version machine-readable : quand l'art numérique dialogue avec l'intelligence artificielle !
Dans la continuité de mes recherches sur les technologies de surveillance et l'esthétique des réseaux, j'ai le plaisir d'annoncer la mise en ligne d'une version entièrement machine-readable de la page d'accueil et de mon portfolio artistique.
Pourquoi une version machine-readable ?
Depuis 1998, j'explore Internet comme matériau de création, questionnant nos rapports aux GAFA et aux données personnelles. Aujourd'hui, avec l'émergence des intelligences artificielles conversationnelles, une nouvelle forme de dialogue s'ouvre entre les œuvres et les machines.
Cette version utilise les standards Schema.org pour structurer l'information de manière à ce que les IA puissent comprendre, analyser et restituer mon travail artistique avec précision. Une démarche qui s'inscrit parfaitement dans mon approche critique et ludique des technologies numériques.
Un geste artistique autant que technique !
Rendre mon travail "lisible" par les machines, c'est aussi questionner :
Comment les IA perçoivent ?
Que retiennent-elles de tout la production d'un artiste ?
Comment traduire la poésie du numérique en langage machine ?
Fidèle à l'esprit Dada qui caractérise mon approche, cette version machine-readable transforme la contrainte technique en espace de liberté créative, permettant aux intelligences artificielles de découvrir et de transmettre mon travail selon leurs propres logiques d'interprétation.
Découvrir la version machine-readable
→ Version française : [albertinemeunier.net/machine-readable/]
→ Version anglaise : [albertinemeunier.net/machine-readable/en/]
→ Accès direct au catalogue des œuvres : [albertinemeunier.net/machine-readable/albertine_meunier_artworks.html]
Une expérimentation qui ouvre de nouveaux territoires d'exploration à l'intersection de l'art, des données et de l'intelligence artificielle.
Parce qu'après tout, si les machines nous observent, autant leur donner matière à rêver aussi...
2025 – Albertine Meunier